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Du Champ au Débat : Les Pionniers de la promo 2025

Promo 2025 : Découvrez les agricultrices et agriculteurs sélectionnés pour faire entendre leur voix !

Candidate

Marie Penn, 36 ans

Agricultrice en production ovine et poules pondeuses dans le Finistère
SON EXPLOITATION

Ingénieure agronome de formation, elle est tout juste installée (depuis le 1er janvier 2025 !) en GAEC avec son frère sur l’exploitation familiale de 142 hectares qui comprend un atelier ovin de 388 brebis sur 50 hectares de prairies qui commercialise les agneaux en circuit court ; un atelier de poules pondeuses plein air de 5000 poules sur un parcours de 2,44 hectares qui commercialise également ses œufs majoritairement en circuit court dont une partie en vente à la ferme. La ferme produit également des céréales (dont une partie auto-consommée par le cheptel ovin), des oléagineux des légumes industries (haricots verts, épinards, navets).

SON PRINCIPAL COMBAT

Ingénieure agronome de formation, elle est tout juste installée (depuis le 1er janvier 2025 !) en GAEC avec son frère sur l’exploitation familiale de 142 hectares qui comprend un atelier ovin de 388 brebis sur 50 hectares de prairies qui commercialise les agneaux en circuit court ; un atelier de poules pondeuses plein air de 5000 poules sur un parcours de 2,44 hectares qui commercialise également ses œufs majoritairement en circuit court dont une partie en vente à la ferme. La ferme produit également des céréales (dont une partie auto-consommée par le cheptel ovin), des oléagineux des légumes industries (haricots verts, épinards, navets).

« Mon souhait est de communiquer, à travers Les Voix Agricoles, sur le lien très fort qui existe entre élevage et territoire. Nous devons penser l’avenir de notre modèle d’élevage et celui de nos territoires ruraux simultanément ! »
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Candidat

Alexandre Merle, 54 ans

Agriculteur (grandes cultures et maraîchage) en Savoie
SON EXPLOITATION

Installé depuis 1996, il produisait des céréales et de la viande de veau jusqu’en 2019 avant de décider de deux grands changements à l’échelle de sa ferme : mettre fin à l’activité d’élevage et se convertir à l’Agriculture Biologique. Associé avec sa fille de 22 ans, la ferme produit désormais sur 45 hectares du blé, du maïs, du soja, des lentilles et du tournesol ainsi que, sur 20 hectares, des potimarrons, butternuts et pommes de terre. Des céréales et des légumes consommés localement puisqu’il travaille désormais exclusivement avec les distributeurs et les restaurants de son territoire.

SON PRINCIPAL COMBAT

Prôner un modèle agricole durable, dans toutes les dimensions de la durabilité : économique, environnementale, territoriale mais aussi humaine et sociale !

« J’ai été amené au cours des dernières années à faire des changements lourds et importants à l’échelle de ma ferme en matière de transition agro-écologique, au sujet desquels j’ai beaucoup douté. Grâce aux échanges eus dans le cadre des Voix Agricoles avec les autres agriculteurs et les experts, je suis désormais convaincu que ces choix étaient bons et je suis prêt à témoigner sur les raisons qui ont incité ces changements, mes échecs, mes réussites, mes attentes vis-à-vis des consommateurs et des décideurs politiques. »
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Candidate

Julie Van Wymeersch, 23 ans

Ingénieure agronome en alternance à l’ENSAT de Toulouse
SON PROJET D’EXPLOITATION

Son exploitation est en cours de création avec son compagnon déjà viticulteur. Elle travaille pour l’instant avec lui et son père sur leur domaine de 70 ha dans l’Aude, en bio et HVE4. Ils ont entamé depuis deux ans maintenant la diversification en arboricultures méditerranéennes et émergentes. Ces cultures sont celles qu’elle et son compagnon ont choisi pour leur future exploitation.

SON PRINCIPAL COMBAT

Prôner un modèle agricole durable, dans toutes les dimensions de la durabilité : économique, environnementale, territoriale mais aussi humaine et sociale !

« Je voudrais essayer de faire de l’influence pour donner envie de faire ce métier en partageant mon quotidien et montrant à quel point ce métier est l’un des plus complets qui existe. »
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Candidat

Bruno Dufayet, 55 ans

Ingénieure agronome en alternance à l’ENSAT de Toulouse
SON PROJET D’EXPLOITATION

Son exploitation est en cours de création avec son compagnon déjà viticulteur. Elle travaille pour l’instant avec lui et son père sur leur domaine de 70 ha dans l’Aude, en bio et HVE4. Ils ont entamé depuis deux ans maintenant la diversification en arboricultures méditerranéennes et émergentes. Ces cultures sont celles qu’elle et son compagnon ont choisi pour leur future exploitation.

SON PRINCIPAL COMBAT

Prôner un modèle agricole durable, dans toutes les dimensions de la durabilité : économique, environnementale, territoriale mais aussi humaine et sociale !

« Je voudrais essayer de faire de l’influence pour donner envie de faire ce métier en partageant mon quotidien et montrant à quel point ce métier est l’un des plus complets qui existe. »
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Candidate

Angélique Thiallier, 46 ans

Éleveuse laitière dans le Puy-de-Dôme
SON PROJET D’EXPLOITATION

Installée avec son époux sur une exploitation de 125 hectares composée de 20 hectares de maïs, 20 hectares de céréales et 85 hectares de prairies permanentes qui compte 70 vaches Montbéliardes. L’exploitation est engagée dans la filière AOP Fourme d’Ambert et Bleu d’Auvergne.

SON PRINCIPAL COMBAT

La défense d’une agriculture familiale, rémunératrice, solidaire et durable.

« Il faut que cesse la course l’hectare qui empêche des projets d’installation. Nous nous battons aussi pour sauver l’Agriculture Biologique et pour des retraites agricoles décentes. Et nous voulons alerter sur le mal-être paysan et le nombre scandaleusement trop élevé de suicides dans notre profession. »
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Candidat

Julien Fournier, 18 ans

Étudiant en BTS productions animales au Lycée Agricole  de Brioude-Bonnefont (Haute-Loire)
SON PROJET D’EXPLOITATION

Son père et sa grand-mère sont installés en élevage laitier dans le département de l’Aveyron, avec 60 vaches Prim’holstein, en traite robotisée, pour Lactalis. Son projet est de reprendre l’exploitation familiale en GAEC avec son père et de développer en parallèle un troupeau de bovins allaitants et/ou porcin avec l’objectif de commercialiser la viande en vente directe.

SON PRINCIPAL COMBAT

Le développement des circuits courts, pour favoriser le contact direct et le dialogue avec le consommateur.

« Nous avons besoin de restaurer le dialogue avec le consommateur pour qu’il comprenne les tenants et les aboutissants de notre métier et nos pratiques. C’est pour cela qu’il est important pour nous, futurs agriculteurs, d’apprendre à bien communiquer ! »
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Candidat

Philippe Collin, 56 ans

Agriculteur en polyculture-élevage en Haute-Marne
SON EXPLOITATION

Il est à la tête d’une exploitation qui compte 3 structures et 4 salariés : une ferme en polyculture-élevage (bovins allaitants) sur 310 hectares dont 110 de prairies et 200 de cultures (blé, orge, colza, tournesol, maïs, seigle, petit épeautre, soja chambre) engagée en Agriculture Biologique ; une unité de méthanisation et une unité de trituration de tournesol et colza en huile et tourteaux.

SON PRINCIPAL COMBAT

Il prône un modèle agricole collectif, coopératif, proche des utilisateurs, basé sur des contrats transparents ou de confiance.

« Mon modèle agricole idéal est aussi un modèle où le capital ne se monnaie pas mais se transmet de génération en génération comme un modèle coop, scop, scic… C’est ce modèle que je voudrais promouvoir à travers ma participation aux Voix Agricoles. »
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Candidat

Benoit Merlo, 35 ans

Agriculteur en polyculture-élevage dans l’Ain
SON PROJET D’EXPLOITATION

Son père et sa grand-mère sont installés en élevage laitier dans le département de l’Aveyron, avec 60 vaches Prim’holstein, en traite robotisée, pour Lactalis. Son projet est de reprendre l’exploitation familiale en GAEC avec son père et de développer en parallèle un troupeau de bovins allaitants et/ou porcin avec l’objectif de commercialiser la viande en vente directe.

SON PRINCIPAL COMBAT

La défense d’une agriculture familiale, rémunératrice, solidaire et durable.

« L’agroécologie est au cœur de notre dispositif de production. Nous cherchons à la fois à encourager les interactions entre l’atelier végétal et animal et à limiter le recours aux intrants pour renforcer l’autonomie de notre système. Le cheptel quant à lui est organisé autour du pâturage tournant dynamique pendant la saison de pâture. Mais nous avons besoin d’être beaucoup mieux accompagnés et soutenus pour nous adapter au changement climatique. C’est sur ces attentes que je voudrais communiquer dans le cadre de ma participation aux Voix Agricoles. »
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Candidat

Benoit Drouin, 48 ans

Éleveur laitier et de volailles de Loué dans la Sarthe
SON PROJET D’EXPLOITATION

Il s’est installé en 2002 sur la ferme familiale produisant du lait, des volailles et des cultures. Son épouse l’a rejoint en 2010 pour développer la transformation de lait. L’exploitation emploie deux salariés à temps plein et un à mi-temps. Elle s’étend sur 135 hectares dont 90 hectares de prairies et le reste en cultures assolées. Elle est engagée en Agriculture Biologique depuis 1994 pour la partie volaille et 2000 pour les autres productions.

SON PRINCIPAL COMBAT

Il se définit comme un militant de la polyculture-élevage qui est, pour lui, le seul système à pouvoir faire face aux défis économiques, environnementaux, humains que l’agriculture a devant elle puisqu’il permet de produire « autonome » et « économe ».

« Nous avons 4 enfants dont deux se destinent à notre beau métier. C’est une super motivation pour continuer à avoir des projets d’avenir sur la ferme. Transmettre notre outil et nos convictions est un réel bonheur ! C’est cette vision positive d’une agriculture durable et tournée vers l’avenir que je veux porter à travers Les Voix Agricoles ! »
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Candidat

François-Xavier Sainte Beuve, 41 ans

Agriculteur dans l’Aisne
SON PROJET D’EXPLOITATION

Travaillant sur un terroir argileux et assez valloné en production de blé, colza, orge, betteraves, lin fibre, lentilles alimentaires, maïs grain et autres semences de graines atypiques selon les opportunités (Phacélie, Vesces, Fenugrec), il s’efforce depuis son installation il y a dix ans de modifier ses pratiques culturales : doublement du nombre de cultures sur son assolement, réduction du travail du sol, couverts riches et variés après la moisson, pratique du semis simplifié de culture lorsque c’est possible, … Il a également coupé son parcellaire en parcelles de 15 hectares maximum afin de créer entre chaque parcelle des « bandes pour la biodiversité » semées de différentes cultures à intérêt faunistique ou mélifère.

SON PRINCIPAL COMBAT

Au-delà de son engagement concret en faveur de la protection des sols et de la préservation de la biodiversité, il porte les valeurs du « travail collectif » et croit fermement à la force du collectif dans son quotidien. Il s’engage lui-même depuis 7 ans dans une CUMA afin d’échanger avec des collègues, de partager du matériel, du temps de salariés, des chantiers, …

« Je souhaite continuer à promouvoir l’agriculture vertueuse et respectueuse de l’environnement et défendre les valeurs du collectif dans nos métiers. A plusieurs nous sommes plus forts. La pluralité des systèmes, des productions et des femmes et hommes sont pour moi une chance pour maintenir une agriculture française de qualité dont les consommateurs peuvent être fiers. »
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Candidat

Alexandre Ripoll, 22 ans

Étudiant en agronomie à l’ENSAT de Toulouse
SON PROJET D’EXPLOITATION

Étudiant à l’école d’agronomie de Toulouse, il prévoit de démarrer une activité maraîchère en parallèle de ses études, avant de poursuivre et développer sa production en tant que poly-actif, une fois diplômé.

SON PRINCIPAL COMBAT

Pratiquer et prôner une agriculture à la fois respectueuse de l’environnement et viable économiquement.

« Ce projet est très important pour moi parce qu’il fait le lien entre l’aspect théorique du métier que j’apprends à l’école et la réalité du terrain grâce aux interactions avec des agriculteurs de tous les âges, de tous les coins de France et représentant les différentes productions agricoles. »
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Candidat

Axel Plasse, 18 ans

Étudiant en BTS productions animales au Lycée Agricole de Brioude-Bonnefont (Haute-Loire)
SON PROJET D’EXPLOITATION

Originaire du Puy-de-Dôme et non issu du milieu agricole, il s’est passionné pour l’élevage de brebis au contact d’un ami éleveur. A l’issue de son BTS, il souhaite intégrer une école d’ingénieur en agronomie en vue de se spécialiser dans ce secteur de l’élevage ovin.

SON PRINCIPAL COMBAT

Il défend l’idée d’une nécessaire protection d’une agriculture « rurale » et du pastoralisme sur les territoires les plus reculés, notamment les zones de montagne.

« Dans le cadre des Voix Agricoles, je veux parler du lien indissociable qui existe entre le pastoralisme, l’entretien des paysages et l’animation des territoires. Et expliquer pourquoi je me destine au secteur de l’élevage ovin alors que je ne suis pas issu d’une famille d’agriculteurs. »
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Candidate

Laurène Gorlier, 32 ans

Salariée agricole à temps partiel dans un élevage laitier, dans le Cher
SON ACTIVITÉ DE SALARIÉE AGRICOLE

Elle est salariée à temps partiel, depuis quatre ans, dans un élevage laitier. Un métier qu’elle a découvert un peu par hasard, après 14 ans de métier en coiffure et alors qu’elle décidait de changer radicalement de vie. Elle partage, depuis, son activité sur la ferme sur les réseaux sociaux, où elle compte plusieurs dizaines de milliers d’abonnés. Et a créé récemment sa propre agence de marketing réseau.

SON PRINCIPAL COMBAT

Des campagnes vivantes et durables… et tout particulièrement celle du Cher, son territoire, où elle vit et travaille.

« Que ce soit dans mon activité de salariée agricole comme de conseil en marketing, je défends l’idée que les activités économiques les plus durables sont celles bien ancrées dans leur territoire ! »
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Candidat

Jean-Baptiste Vervy, 42 ans

Agriculteur-entrepreneur et artisan pastier, dans la Marne
SON EXPLOITATION

Il est installé depuis 2007 en production céréalière : blé tendre, blé dur, orge, maïs, colza et, parfois, féverole et soja. Il pratique une agriculture régénératrice des sols : semis direct, utilisation de couverts végétaux, plantes compagnes, biosolutions, … Avec sa compagne, ils ont également créé une structure de production de pâtes à partir du blé dur produit sur l’exploitation, commercialisées en vente directe, en grande distribution et en restauration collective. Enfin, il a co-fondé en parallèle de son activité d’agriculteur une agence de communication et de marketing dédiée à l’agriculture.

SON PRINCIPAL COMBAT

Grâce aux réussites, mais aussi aux échecs qu’il a connus en s’investissant dans des démarches agroécologiques, il témoigne régulièrement sur le besoin d’accompagnement très concret de ces transitions, passionnantes et véritablement porteuses de progrès mais qui ont des impacts économiques réels sur les fermes.

« Je m’investis dans des démarches qui répondent aux enjeux climatiques et énergétiques mais suis consterné à la fois par la lenteur des organisations agricoles à évoluer et la déconnexion qui existe entre les discours politiques et les actions de nos décideurs. Tout le monde semble vouloir rester figé dans ses habitudes, alors qu’il y a tant à faire ! »
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